Liban, tu me manques plus que jamais
Depuis l'été dernier, on n'a pas pu y retourner. D'abord, on a annulé notre vol en été avec l'espoir de reporter à octobre. Mais encore une fois, les événements nous ont obligés à annuler.
C'est dur d'être loin de ce pays qui fait partie de moi, de ses paysages, de ses gens, et surtout de ma famille. Ne pas pouvoir serrer dans mes bras ceux que j'aime, partager des moments simples avec eux, ça pèse sur le cœur.
Chaque coin de rue me rappelle des souvenirs, et chaque moment là-bas est un mélange d'émotion et de nostalgie. Rien ne remplace la chaleur humaine du Liban, ni les rires en famille autour d'une table.
En attendant de pouvoir y revenir, mon cœur reste là-bas, entre les montagnes, la mer, et les rues qui vibrent encore de notre absence.